• Salut tout le monde ! Je sais que ça fait longtemps que je ne m'étais pas occupé de ce blog mais l'envie revient donc voilà :D

    Je ne peux pas vous garantir des publications régulières mais je ferai de mon mieux pour que ce site revive un peu.

     

    Enjoy !


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    Je restais stoïque. Le bâton à la main je le regardais. Ses yeux ne trahissaient aucune émotion. Il avait l’air résolu. Je pouvais bien lui donner une petite leçon ... Tout de même cela m’étonnait. Pourquoi voulait-il se battre contre moi ? Les autres se seraient-ils trompés en disant qu’il m’aimait bien ? Je raffermis ma prise sur mon arme improvisée, quelques irrégularités du bois m’entaillèrent la main.

     

    -Pourquoi veux-tu te bat...

     

    Je n’eus pas le temps de finir ma phrase qu’il se jeta sur moi. Il se fendit en visant mon flanc droit. Je parai puis je fis un mouvement de recul. Il revint à la charge avec un coup horizontale visant ma tête cette fois ci. Je ne voulais pas me battre mais là s’en est trop. Je fléchis mes jambes et je ripostai d’un coup de poing visant son plexus. Mon coup le toucha au moment où son bâton me tapait violement l’épaule. L’impact le fit reculer de quelques pas. Il reprit son souffle. Il est bon au combat. Quand il revint à l’attaque nous commençâmes échanger une série de coup de bâton violent. Je profitai d’une ouverture dans sa garde pour le taper dans les côtes flottantes, il tituba en arrière.

     

    -Je ne veux pas me battre contre toi, fis-je avant qu’il ne recommence.

     

    -Tant pis ! cria-t-il. Bats-toi sérieusement !

     

    -D’accord … lui répondis-je, résigné.

     

    Alors qu’il allait encore me frapper à l’épaule je le pris de vitesse et mon morceau de bois rencontra sa main ce qu’il lui fit lâcher son arme. J’enchainai deux attaques rapides, l’une sur sa cuisse et l’autre dans le flanc. Je lâchai mon bâton puis je le saisi à la gorge avec me pivoter autour de lui pour être dans son dos.

     

    -C’est fini, dis-je en l’étranglant. Estimes toi heureux de t’en tirer seulement avec quelques contusions.

     

    Je relâchai ma prise puis je m’écartai de lui. Il me regardait avec des yeux stupéfaits. J’époussetais mes vêtements pendant qu’il frictionnait les parties de son corps que j’avais frappé.  Le soleil s’était couché derrière les montagnes, les étoiles apparaissaient une à une.

     

    -Pourquoi avoir voulu combattre contre moi ? Demandais-je tristement.

     

    -C’était pour te tester, me dit-il.

     

    Me tester ? Mais que veut-il donc ?...


    -Ce collège n’est pas aussi paisible qu’il en a l’air, reprit-il, de nombreux groupes plutôt violent y résident. Si tu n’es pas un minimum résistant, tu te fais écraser.

     

    Mickael est résistant je l’avoue, même si je n’étais pas sérieux il a réussi à me frapper quelques fois.

     

    -C’est un véritable monde de l’ombre qui se cache derrière ce petit collège, continua-t-il. Et ce n’est pas seulement les collégiens qui sont concernés, les profs et des personnes extérieurs le sont aussi.

     

    -Si tu dis que tout le monde est concerné, cela veut dire que tes amis le sont aussi ? Pourtant ils n’ont pas l’air « résistants ».

     

    -C’est vrai ils ne le sont pas, mais on va dire qu’ils bénéficient de mon « influence », même si cette dernière ne suffit plus totalement ... C’est pour ça que j’ai besoin de toi, pourrais-tu te faire un nom dans ce monde de l’ombre pour protéger mes amis ?

     

    -Tu me prends pour un enfant de cœur ? Dis-je en rigolant. Pourquoi t’aiderai-je ?

     

    -Alors tu es ce genre de mec ... Désolé de t’avoir dérangé.

     

    Il avait l’air déçu. Il partit en me lançant un regard désolé. Je me sentais mal. Mais je ne suis pas leur ami, je veux juste une vie tranquille … Cette situation me contrarié

     

    Enfin je remarquai leur présence, ils étaient cinq. Ils sortirent de derrière les arbres armés de couteau et de barre de fer. Alors comme ça le monde de l’ombre me rattrapait ? Ils voulaient aussi me tester ?

     

    -Désolé les gars mais  je suis pas d’humeur ce soir, fis-je d’un ton froid.

     


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    Chapitre 5 : Another Day

     

    C'était le matin, dans le grand manoir des Katsui, un jeune homme était en train d'enfiler un costume de majordome, sous le regard attentif d'un homme lui aussi costumé.

     -Le métier de majordome n'est pas compliqué dans le fond, on ne fait qu'obéir aux ordres de nos maître, disait l'adulte.

     -C'est sur que c'est moins compliqué que le métier de chasseur de prime, rétorqua le garçon.

     

    Le plus vieux des deux parut surpris mais cela ne dura pas longtemps. Redevenant impassible il remit correctement la cravate de son cadet.

     

    -Alors comme ça tu as déjà deviner, fit-il légèrement déçu.

    -Oui, répondit Ryan, ce n'était pas bien compliqué, le premier majordome venu ne peut pas tuer des chasseurs de primes avec tant d'aisance et sans armes. C'était quoi votre nom ?

     -Ça ne te regarde pas ...

     -Allez s'il vous plait ! Je ne le répéterais pas à Leora, le supplia t-il.

     -Dame Leora pour toi, le rectifia Grhael. L'Ange de la mort ...

     -Qu ... Quoi ?! L'Ange de la mort c'était to... Vous ?! En bégaya le jeune homme.

     -Oui ... Pourquoi tu le connaissais ?

     -Qui n'a pas entendu parler de lui ? Toutes les mères répètent à leurs enfants que s'ils ne sont pas sages l'Ange viendra les tuer pendant leur sommeil.

     -J'avais une telle réputation, dit le majordome, surpris.

     -Eh oui. Et elle tient toujours. Moins qu'avant, mais ce nom reste connu.

     

    Grhael regarda par la fenêtre et déclara :

     

    -C'est l'heure d'apporter le petit déjeuné à la demoiselle. Tiens, dit-il en lui tendant un plateau où reposé un thé à la menthe, un croissant encore chaud et une part de tarte au pomme. Moi j'ai encore des choses à régler en ville, je reviendrais pour le repas de midi. Ne faites pas de bêtises.

     

    Sur ce conseil, il ouvrit la porte d'entré et sortit. Ryan se retrouva seul avec son plateau dans la cuisine de la grande demeure. Il se dirigea vers la chambre de sa maitresse d'un pas décidé. En chemin, il observa les tableau ou plutôt l'absence de tableau qu'il n'avait pas remarqué la veille. Arrivé devant la porte, il hésita puis poussa le battant. La porte tourna sur ses gonds sans faire le moindre bruit, et fit découvrir à Ryan une Leora encore endormit, enroulé dans ses couvertures. Le jeune homme, rouge de gène, rentra, comme lui avait dit Grhael, posa son plateau sur une petite table prévu à cet effet et ouvrit les volets. Quand la lumière pénétra dans la pièce, et qu'un rayons chaud vint caresser la joue de l'adolescente, la jeune fille grogna un peu puis ouvrit tout abord une paupières. Voyant la silhouette de Ryan, elle sursauta, s'assit sur son lit et replia les jambes contre son buste. Ce dernier aussi sursauta et se raidit. Ils se regardèrent pendant quelques minutes jusqu'à que le garçon se fende d'une révérence et disent :

    -Hello my lady.


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    Mickael ...

     

    Je rentrais chez moi, un appartement spacieux et lumineux, ayant trois chambres, le bureau de mes parents, leur chambre et ma chambre. Le salon était immense, avec ses deux canapés en cuir blanc, son écran plat 120cm et tout un mur recouvert de livre. Le lieu était désert. J'allai jusqu'à ma chambre, traversant un long couloir décoré de tableau, jetai mon sac sur mon lit et alluma mon ordinateur. Je regardai l'heure. 18H. Déjà ... Je me retournai vers l'ordinateur déjà allumé, ouvris ma session puis une page internet. Après quelques minutes de recherche je trouvai ce que je voulais. Je consultai l'heure une nouvelle fois. 18H15. Je retirai mon tee-shirt, le lança sur mon lit par dessus mon sac. J'allai dans la salle de bain et ouvris le robinet d'eau chaude. Je finis de me déshabiller, et m'immergeai dans l'eau brulante. Ce contact me relaxa. La journée avait été épuisante, mais tellement intéressante. Voilà des mois, voir des années que je ne m'étais pas amusé comme cela. Mais quelque chose me dérangeait encore. Je ne m'en souvint que quand mon portable, laissé sur la machine à laver vibra. Je m'essuyai la main et tendis le bras pour le prendre. Un message, d'un inconnu. Je l'ouvris et lu avec stupeur son contenu :

     

    Rendez vous à 20h dans le parc près du collège. Mickael.

     

    Qu'est ce qu'il me voulait ? Je jetai un coup d'oeil à l'heure : 18h45. Cette imbécile m'ayant envoyé le message en anonyme je ne pouvais pas répondre. Je vidai la baignoire, me rinçai, puis saisis ma serviette pour m'essuyer. Une fois sec je me vêtis d'un jean noir et d'un tee-shirt blanc. En allant dans la cuisine je me regardai dans le miroir. J'étais ... Normal. Un visage triangulaire, des chevaux châtain, clair l'été et foncé l'hiver, coiffés en pics, où les mèches ressemblaient à des tours ou à des passerelles, des yeux d'un bleu clair au soleil et presque noir à l'ombre. Quelque boutons venaient gâcher ce visage. Je portai des lentilles à cause de ma myopie. Pendant longtemps j'eus porté des lunettes, mais ce temps était fini. Je faisais environ 1m75 pour 65kg, un corps fin mais musclé. Je continuai mon chemin et au passage je regardai l'heure : 19h. Je devais me dépêcher, il me faudrait une bonne demi heure pour arriver au parc et je devais encore manger. Sur la table de la cuisine reposait un post-it jaune fluo, gribouillé d'une écriture pressé mais soigné : On ne rentrera pas ce soir, tu as de quoi manger dans le frigo. Ne te couches pas trop tard. Maman. Sans même lire le mot je le pris et le jetai à la poubelle. J'ouvris le frigo et trouvai des plats chinois à réchauffer. Je les transvasai dans le micro-onde, l'allumai et attendis que mon repas soit prêt. Quand le bip retentit, je sursautai. Machinalement, avec l'assurance de l'habitude, je défis les paquet puis commençai mon repas composé de nems, d'acras de morue et de sushis. Quand j'eus fini, je jetai tout ce qui trainait sur la table puis je sortis de chez moi. Je regardai l'heure sur mon portable : 19h20. Je serais pile à l'heure. Sans presser le pas je me dirigeais vers le collège. A cette époque de l'année, il faisait encore jour jusqu'à 21h, ce qui m'arrangeai, la nuit, les rues étaient infestés de nuisible, sautant sur la moindre occasion pour s'embrouiller avec vous. Je fis le chemin sans me presser, sûr d'arriver à l'heure voir en avance. Pendant le trajet, j'observais ce qui se passait autours de moi. Les voitures, les maisons, les arbres, les rares passant. Tout était normal. Je repensais aux raisons que Mickael avait pour me faire venir à cette heure. Cela avait-il un rapport avec son comportement bizarre ? Avec les autres ? Ou plus particulièrement Callie ? Finissant de ressasser tout ça, je me rendis compte que j'étais arrivé à l'entré du parc. Le soleil se couchant, quand j'aperçus Mickael, on eut dit qu'il portait une aura rouge. Je m'approchais de lui tout en le regardant dans les yeux. Je lui posais la question fatidique :

     

    -Qu'est ce que tu veux ?

     

    Sans rien me répondre, il saisit un des deux battons posait près de lui et me le lança. Il garda le deuxième. Les deux mot qu'il prononça ensuite me surprirent :

     

    -Bats toi !


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  • Salut tout le monde / Hi everybody / Hola todo las gentes 

    Ca va ? / How are you ? / Que tal ? 

    Bon j'arrette la traduction x)

    Alors pour commencer vous n'avez pas eu de chapitre d'aucune histoire depuis quelques temps et j'en suis profondément désolé. Il y a deux raisons à cela : La première est une magnifique personne qui occupe toutes mes pensées, la deuxième est un événement, les vacances. Pour vous raconter ma vie, je suis actuellement à Menton (Frontière italienne, à environ 30 min de Nice) donc je profite plus du soleil que d'un pc (Même si le matin mon gentil oncle me laisse jouer à sa ps3 =D). Mais ne vous inquiété pas, mon inspiration n'est pas dérangé par ce manque de technologie, mais plutôt par la première raison de mon absence : Un ange. Certain en on déjà entendu parler, pour les autres c'est une magnifique fille qui prend tout mon esprit. Enfin tout ça c'est ma vie devenu beaucoup moins ennuyante depuis son apparition.

    En ce qui vous concerne, je vous promet un chapitre de toutes les histoires courant semaine prochaine. Si je ne tiens pas cette promesse, vous pourrez chacun m'infliger un gage =S. 

    Bon bon, je vous quitte sur une note musicale, j'ai changé la playlist du site.

     

     Enjoy tout le monde / Enjoy everybody / Enjoy todo las gentes !

     


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